Prologue - L'arrivé des mercenaires à Aubelongue

**Anglos** Mar 7 Mar - 16:49

Il fut un temps où nous n'étions pas forcé de vivre reclus sur Aubelongue. Où nous n'étions pas forcé de fuir, sous peine de mourir, Limaxan, le continent aujourd'hui sous le joug des ombres. Certains s'y battent toujours, et les dieux seuls savent combien nous applaudissons leur courage... et pleurons leur stupidité.

Rien n'aurai pu annoncer ce qui c'est produit. La vie sur Limaxan a toujours été tranquille comparé à ce qu'il s'y est passé. Les peuples ne s'entendaient pas, il y avait des guerres, nous ne pouvons le nier. Cependant, ceux n'appréciant pas de combattre menaient une vie simple, loin de tous ces terribles conflits, la richesse des récoltes permettaient le commerce, qui permettait la paix par endroit. Et les jeunes s'amusaient à aller explorer le continent, pour le plus grand mal de leur parent craignant de ne jamais les revoir. Peu importait à ces concentrés d'énergie ; il fallait qu'ils découvrent le monde. Ce monde où régnaient mille danger, où nul ne savait ce que lui réservait l'avenir...

Bien entendu, il n'y avait pas que des gens honnêtes. Et parmi eux, un mage puissant dont on tait à présent le nom, qui réussi à réunir tant de fidèle, à corrompre tant de personne qu'il eut bientôt une armé pour se battre à sa place, et qu'une guerre pour que les ténèbres n'envahissent pas le territoire commença. Les aventuriers disparurent petit à petit, assassiné en combattant ou vivant en joignant les forces mauvaises, les guerres s'intensifièrent pour faire affluer les torrents de sang sur les terres qui, à fur et à mesure, se devenaient corrompues, et où l'on ne pouvait pas, ne devions pas aller. Il était trop tard, et nous avons du fuir. Limaxan ne doit-être à présent plus qu'un vague souvenir, même si des imbéciles ont l'audace d'y aller en bateau.

Tout est que, à notre fuite, nous avons trouvé cet archipel, et nous sommes dispersés sur plusieurs îles. Aubelongue et ses habitants nous ont accueilli à bras ouverts, malgré le mal qu'on apportait avec nous. Des subordonnés du mage noir se sont infiltrés dans les navires, et nul ne connaît leurs identités. Peut être qu'ils ont rejoint nos rangs... Mais je n'ai pas peur. Nous avons retapé un vieux fort, et nous y sommes installés. On voit beaucoup de voyageur passer et continuer leur route, d'autre demande l'asile. Et les derniers sont ceux qui veulent nous rejoindre. On accepte tout le monde, parfois nos gars ne reviennent pas. Et puis... On a toujours besoin de mercenaire, pas vrai ?